Parece que existe no cérebro uma zona perfeitamente específica que poderia chamar-se memória poética e que registra aquilo que nos encantou, aquilo que nos comoveu, aquilo que dá à nossa vida a sua beleza própria(...) (Milan Kundera- A INSUSTENTÁVEL LEVEZA DO SER)
domingo, 10 de abril de 2011
Último dia em Paris
"Et puis, quelque chose est arrivé, quelque chose difficile de décrire. Assise là et être seule dans un pays étrangé, loin de mon travail et de tous les gens que je connais, un sentiment est venu a moi. C'était comme si je me souvenais de quelquechose que je n'ai jamais connu ou que j'avais attendu toujours. Mais je n'ai savais pas quoi. Peut-être c'était quelque chose que j'avais oublié ou quelque chose qui me manquais toute ma vie. Seulement je peux vous dire que j'ai senti au même temps la joie et la tristesse. Mais pas trop tristesse. Parce que je me sentais vivante. Oui, vivante. Ça c'était le moment où j'ai commencé à aimer Paris et le moment où j'ai senti que Paris m'aimais aussi."
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